Comment le concept est apparu ?

Les consciences ont commencé à bouger lorsque le monde a fait face à plusieurs crises écologiques. On peut citer les retombées nucléaires de Rongelap, la catastrophe Seveso et une des plus connues qui est la catastrophe nucléaire de Tchernobyl. Pendant cette période déjà, on s’est rendu compte que si l’Homme ne prend pas des mesures sérieuses pour préserver l’environnement, il va s’en suivre des conséquences désastreuses pour notre planète. Il y a en l’occurrence les menaces sur la couche d’ozone et l’extinction de la biodiversité. Ainsi, la communauté internationale a mis en place plusieurs organismes internationaux spécialisés dans l’environnement. L’économie est fortement liée à l’environnement c’est pourquoi la communauté internationale s’est efforcée de trouver un modèle économique qui concilie la satisfaction des besoins de l’Homme et la préservation de l’écosystème.

La remise en question de la notion de développement durable

Le développement durable fait l’objet de nombreuses discussions et de remises en question. C’est un concept créé par l’Occident en grande partie. Selon certains penseurs, il n’est donc pas dénué de tout contexte économique ou politique. Le modèle de développement mis en œuvre par les pays développés s’apparente comme une forme d’idéal imposé. Pourtant toutes les sociétés sont différentes et le modèle peut ne pas s’adapter à toutes. La référence relative au développement durable reste cependant les pays occidentaux qui constituent par excellence une société de consommation, capitaliste et fortement industrielle. A l’opposé, il existe des sociétés où l’agriculture est prédominante. D’ailleurs, celles-ci s’en sortent pas mal quand on parle d’écologie. En outre, le terme « développement » en lui-même dérange les penseurs parce qu’il est associé à la croissance. Il est donc difficile d’envisager une croissance durable compatible avec des ressources qui peuvent s’épuiser.

Pourquoi choisir cette formation ?

Avant d’entrer dans le vif du sujet, il est important que vous sachiez en quoi le bachelor en environnement est intéressant.

Du fait de l’importance des enjeux environnementaux, les besoins en professionnels qualifiés ne cessent de s’accroître. Il est de ce fait certain que l’avenir vous réserve une fonction importante.

Cette formation vous permet également de rejoindre des entreprises soucieuses de la protection de l’environnement, dès maintenant. Une fois diplômé, vous avez de grandes chances d’accéder à des métiers dans plusieurs secteurs de l’environnement comme la protection de la nature, la gestion des ressources naturelles, l’éducation à l’écologie, etc.

Quels critères devez-vous considérer pour trouver la bonne formation ?

Si vous voulez faire carrière dans l’un des métiers touchant le développement durable et la transition écologique, vous devez viser une formation de bachelor en environnement de qualité. Pour ce faire, tenez compte des points suivants :
– Est-ce que le bachelor est reconnu par l’État ?
– Qu’en est-il de la réputation de l’établissement qui propose la formation ?
– Quel est le contenu du programme de la formation ?
– Comment sont les infrastructures de l’école ?
– Qu’en est-il de l’équipe pédagogique ?
– Les frais de scolarités vous conviennent-ils ?
– Qu’en est-il du réseau des anciens élèves ?
– Etc.

Pour suivre une formation en environnement, vous pouvez vous tourner vers l’ISE. L’un des avantages de cette institution est qu’elle propose aussi des formations en alternance. Cela peut vous convenir si vous avez un emploi du temps assez chargé.

Qu’allez-vous apprendre durant votre formation ?

Un large champ de compétences est couvert par un bachelor en environnement :
– La transition écologique,
– La valorisation des espaces naturels,
– La communication,
– La gestion de projet,
– La maîtrise des risques environnementaux
– Etc.

Raison pour laquelle cette formation est intéressante. Mais puisque chaque établissement est libre d’établir son parcours de formation, vous ferez mieux de consulter les programmes pédagogiques de l’école de votre choix pour savoir le domaine d’expertise en rapport avec l’environnement qui vous convient.

Quels sont les facteurs qui polluent l’océan ?

Nombreux sont les facteurs qui favorisent la pollution de l’océan. Mais ces derniers temps, pour dire depuis la nouvelle ère de la technologie, ce sont les déchets plastiques qui détiennent le record. L’océan est devenu un immense dépotoir pour les déchets plastiques de tout genre. Et comme vous le savez, beaucoup de matériaux utilisent du plastique, alors que c’est une matière non biodégradable. Ce qui signifie qu’une fois lâché dans la nature, il y reste pour beaucoup de temps. Le plastique stocké dans la mer devient de ce fait une menace pour les océans, sa faune et sa flore, mais également pour les humains. La mer polluée peut tuer la population aquatique, ou encore infecter cette population et par la suite les consommateurs de fruits de mer.

Pourquoi la pollution de la mer est une menace pour tout être vivant ?

Les déchets marins représentent une terrible menace pour tous les êtres vivants. Ceci est valable pour les humains, les animaux marins mais aussi pour les plantes qui existent sous l’eau. Les grandes pièces de plastiques étouffent, tuent et blessent les espèces marines du plus petit au plus grand. Les phoques, les tortues de mers subissent énormément les conséquences. Alors qu’ils font partie des animaux en voie de disparition.
La pollution avec du plastique met aussi en danger l’économie d’un pays. La pêche ainsi que le tourisme sont affectés. Les productions de la mer auront un impact crucial si ce phénomène se dégrade.

Les subventions pour l’installation de panneaux solaires

L’obligation à l’achat est un dispositif qui permet aux particuliers de revendre le surplus d’électricité qu’ils produisent et dont ils n’ont pas besoin. L’autoconsommation permet alors de baisser la facture d’électricité, mais elle peut aussi rapporter de l’argent. Le prix de surplus d’électricité est fixé par la loi. La plupart du temps, c’est EDF qui en est l’acheteur. Grâce à ce mécanisme, il est possible de rentabiliser les capitaux investis dans les travaux sur la longévité des installations. Sur cette page, vous trouverez des informations supplémentaires à ce sujet.

La prime à l’autoconsommation est une prime à l’investissement que l’État a mis en place. Elle encourage les foyers à l’exploitation de l’énergie renouvelable. Son obtention est soumise à certaines conditions (installation des panneaux solaires sur le toit, vente de surplus, réalisation des travaux par des professionnels certifiés RGE, installations inférieures à 100 kWc…). La prime est répartie sur 5 ans (soit les 5 premières années de fonctionnement) et le montant dépend de la puissance de l’installation.

Le taux de TVA réduit est quant à lui une facilité proposée sur l’achat et l’installation des équipements qui sont en faveur de la production de l’électricité verte et de l’économie d’énergie. Ainsi, il est possible de bénéficier d’une réduction de TVA à 10 % lorsque l’installation de panneaux solaires en autoconsommation a une puissance de moins de 3 kWc et est reliée au réseau électrique. Aussi, les travaux d’installation doivent être effectués par un professionnel qui a un label RGE pour que cette loi relative à la transition écologique soit applicable.

Quelques informations utiles

Attention aux offres promotionnelles qui promettent des installations photovoltaïques à 0 euro. Il existe certaines entreprises malintentionnées qui se permettent de prendre au piège leurs clients avec des publicités mensongères. En effet, le gouvernement français n’a encore proposé aucune offre promettant des panneaux solaires gratuits jusqu’à présent. Vous pourrez bénéficier des aides, d’ailleurs, il en existe bien plus que les trois types de subventions précédemment cités. Veillez donc à toujours bien vérifier chaque information que les artisans et les entreprises vous communiquent concernant les aides et les subventions.

La ruée vers les moyens de transport écologique

Vous constatez sur ce site que l’Europe redouble d’efforts pour que le continent soit un modèle au niveau écologique. La transition écologique est le grand défi des pays européens engagés dans la protection de l’environnement. Le transport figure parmi les secteurs qui affichent un taux élevé d’émission carbone. Le concept de transport écologique est censé apporter un changement à ce domaine. L’objectif commun est d’opter pour un mode de transport qui ne nuit pas à l’environnement. Vous avez le choix entre la marche, le vélo, les véhicules électriques et les transports en commun. Sachez également que le train est moins polluant que le bus. L’avion ne devrait être réservé qu’aux circonstances exceptionnelles. Le choix d’un moyen de transport moins polluant pour se déplacer, surtout en ville, est une préoccupation pour le vieux continent.

Les moyens de transport les moins polluants

Il est grand temps de changer notre mode de vie. Il faut que nous soyons plus responsables vis-à-vis de l’environnement. Adoptons, pour le bien de toute l’Humanité, les moyens de transport écologiques tels que les voitures électriques. Jusqu’à ce que vous ayez les moyens d’en acheter un, vous pouvez vous rendre au travail à pied. En plus, cela éloigne les maladies. Il existe aussi différents modèles de vélo. Vous pouvez faire vos courses en vélo. Le vélo de ville et le VTT conviennent aux enfants et aux jeunes gens, tandis que le VAE ou vélo à assistance électrique est l’idéal pour les personnes moins alertes. Pensez aussi aux trottinettes. Les jeunes citadins peuvent l’alterner avec les rollers. Aucune de ces solutions ne vous convient ? S’il y a un tramway dans votre ville, prenez-le. Autrement, orientez-vous vers le métro. Contre toute attente, le RER est également peu polluant.

Les avantages d’une maison avec piscine

La maison avec piscine détient l’avantage de vous permettre d’apprécier les réunions en famille et entre amis(es). Rien de tel qu’un apéro au bord de la piscine pour vous faire de bons souvenirs. De plus, la piscine donne du cachet à la maison. Il vous sera donc aisé de la revendre à l’avenir.

Seul inconvénient : le prix d’un tel logement. En effet, pour une maison avec piscine, comptez en moyenne 180 000 € pour les anciens et plus de 400 000 € pour les nouvelles villas. Pour trouver une maison avec piscine à un prix défiant toute concurrence, rendez-vous sur https://www.maison-avec-piscine.net !

L’avantage d’une maison avec un grand jardin

Une maison avec jardin est bien plus avantageuse au niveau budgétaire. Pour l’achat de ce type d’habitation, comptez 200 000 € et quelques. C’est une belle affaire vu qu’elle est abordable pour les familles à petit budget.

A titre d’exemple, il est possible d’acheter un château avec un beau terrain pour que vos enfants puissent s’amuser librement et toujours avoir de la place pour une grande piscine. Ainsi, vous aurez le temps de voir venir les travaux de la piscine petit à petit, tout en profitant de votre lopin de terre pour les fêtes. De plus, vous pourriez louer votre grand jardin afin de financer les travaux de la piscine.

Même avec une grille tarifaire revue à la baisse, vous serez tout de même gagnant. De nombreux couples qui veulent se marier ou se fiancer cherchent les meilleures solutions pour éviter de trop dépenser dans le budget « lieu de réception ». Une aubaine à saisir si vous avez un grand jardin capable d’accueillir du monde. Nul besoin de sortir de votre poche pour que ce bassin voie le jour.

Opter pour les transports en commun

Aujourd’hui, les voitures thermiques et les usines sont les premiers facteurs de la destruction de l’environnement. Malgré la dégradation, le temps est venu de prendre une décision et d’opter pour un transport en commun plus respectueux de la nature.

Si vous habitez en ville, vous avez l’embarras du choix en termes de transport en commun. Vous pouvez même en profiter gratuitement, car les autorités veulent encourager les citadins à prendre part dans la diminution du trafic en ville.

Vous avez le tramway qui fait une émission de CO2 à 3,3 g et le métro pour 3,8 g. Ces statistiques indiquent l’unité de gaz carbonique émis par un passager à chaque kilomètre parcouru. Ils représentent ainsi les moyens de transport pro les plus écolo que vous puissiez trouver en ville.

La voiture personnelle vous conviendrait-elle ?

En ce qui concerne la voiture personnelle, il est clair qu’elle ne convient pas en termes de respect de l’environnement, surtout si elle est thermique et que vous avez l’habitude de rouler seul. Il existe d’autres moyens de se déplacer en voiture afin de réduire les émissions de gaz carbonique.

Dans cette optique, le concept de covoiturage est apparu. Cela consiste à faire un déplacement organisé en voiture pour effectuer un trajet commun. De ce fait, le rejet de 270 000 tonnes de gaz carbonique a été évité grâce au covoiturage. Toutefois, cela ne représente que 4 % des moyens de déplacement de tous les jours.

Une autre manière de se déplacer : l’auto-partage. Similaire au covoiturage, avec un concept assez bénéfique, ce moyen de déplacement est caractérisé par une location de voiture pour un libre-service. Ainsi, le trafic est en baisse considérable. De plus, ce système est déjà très populaire auprès des grandes entreprises. L’autre alternative est la voiture électrique. Une solution qui s’avère être en tête de liste pour d’autres pays dans la préservation de l’environnement. N’oubliez pas non plus que la voiture électrique n’émet que 20 % de CO2.

Optez pour le vélo ou le scooter électrique

Si vous êtes du genre solitaire, prenez votre vélo. Il vous aide à rester en bonne santé, mais préserve aussi l’environnement. Sachez que si vous vous déplacez à vélo, votre émission de CO2 est de 21 g au kilomètre, 4 fois moins qu’une voiture thermique.

Il existe aussi le vélo à assistance électrique pour un prix d’achat compris entre 1500 et 2000 euros. C’est un investissement à long terme, car ce vélo a une durée de vie de 6 ans en moyenne. Il est très rentable comparé aux frais de transport en commun de tous les jours. Pour un déplacement plus rapide, vous avez également les scooters électriques. Votre trajet va se dérouler sans encombre. Facile d’utilisation et sans entretien majeur, le scooter électrique est l’un des transports tendances du moment.

Mettre en place des préventions

Avant d’utiliser des produits, vous devez penser à des préventions. Quelques gestes suffisent pour éviter l’invasion des nuisibles sur votre potager. Cela commence par la création d’un jardin tournant vers la biodiversité. Pour ce faire, vous devez garder une place à la nature sauvage dans votre potager. Ils permettent aux prédateurs naturels de s’installer pour se débarrasser des limaces et des pucerons.
Prenez des espèces indigènes de plantes et d’arbres et supprimez les espaces exotiques trop envahissants. Vous pouvez également créer plusieurs endroits pour accueillir la biodiversité. Mais surtout, vous devez respecter la nature.
Pour éviter l’invasion des espèces nuisibles, étudiez bien votre sol. Cela est nécessaire pour apporter les soins dont il a besoin. Le choix des plantes joue également un rôle important pour éviter l’utilisation des pesticides. Elles doivent s’adapter aux conditions climatiques et aux caractéristiques du sol.

Les solutions naturelles pour ne plus utiliser des pesticides

Malgré vos préventions, il arrive que les nuisibles envahissent votre jardin. Vous devez alors utiliser les manières fortes pour vous en débarrasser. Il ne s’agit cependant pas d’utiliser des produits chimiques mais plutôt des recettes de maison naturelles.
Une macération dans de l’huile d’ail peut faire disparaître les acariens et les araignées de vos légumes. Une décoction de rhubarbe fait fuir les chenilles et les larves d’insectes sur votre potager et votre rosier. Une infusion de tanaisie fait fuir les fourmis sur les carottes, choux et tout autres végétaux. Une décoction de rhubarbe ou de fougère est également efficace pour se débarrasser des limaces.
Si votre jardin est envahi par les mouches ou les pucerons, l’huile d’ail est aussi une bonne idée. Vous pouvez accompagner l’huile avec une macération de piments.
Si votre but est d’améliorer vos végétaux, préparer une décoction de consoude ou un purin d’ortie. Pour favoriser la croissance de vos plantations, le purin de pissenlit est très efficace.

Pour travailler confortablement, opter pour des vêtements de pluie professionnels

Travailler à l’extérieur et être mouillé par la pluie, il n’y a rien de plus désagréable. Chemise et pantalon trempés, dégoulinants et collants sur la peau empêchent de travailler correctement. Le travail en lui-même est plus compliqué à cause de la pluie. Mais si en plus, le travailleur est complètement trempé, impossible de continuer. Les risques de prendre froid et de tomber malade sont grands. Aussi, les entreprises doivent équiper convenablement leurs employés confrontés aux intempéries, entre autres choses avec des vêtements de pluie professionnels. Une tenue de travail anti-pluie permet à tous de travailler au sec, ce qui est bénéfique pour l’entreprise. Les vêtements de pluie professionnels doivent répondre à la norme EN 343 qui dispose de plusieurs classes de protection. Cette norme tient compte de deux facteurs : l’imperméabilité et la respirabilité. Le fait est que plus un vêtement de pluie est imperméable, plus sa respirabilité est faible. Or, un travailleur emmitouflé dans une telle tenue peut se trouver dans l’inconfort. Puisque le vêtement est peu respirant, de l’humidité va s’accumuler à l’intérieur à cause de la transpiration. Un vêtement aussi étanche ne peut être porté que sur un délai court. Les vêtements de pluie professionnels bon marché sont de bonnes affaires mais ils ne sont pas normés. Cependant, ils offrent une bonne imperméabilité. Par contre, ceux qui ont la certification coûtent plus cher. Le choix se fait selon les intempéries. Pour une petite pluie, un modèle de classe 1 suffit, mais pour une pluie soutenue, seul un modèle classe 3 est adapté.

Les critères importants pour le choix des vêtements de pluie professionnels

Un vêtement de pluie professionnel doit être confortable également. C’est donc l’un des critères à considérer pour en choisir un. Le modèle le plus adapté doit comporter une membrane imper-respirante. Un tel modèle permet au travailleur de rester à l’abri de la pluie mais de rester aussi dans le confort. Il peut continuer ses tâches tranquillement pendant de longues heures et ce, grâce à la respirabilité de la tenue. C’est un modèle un peu plus coûteux que les autres mais très efficace. Un autre critère auquel s’attacher pour le choix d’un vêtement de pluie professionnel est la couture. Il faut vérifier que les coutures sont étanches et thermo-soudées. C’est ce qui permet d’éviter l’infiltration de l’eau à l’intérieur. Pour les modèles à fermeture, il vaut mieux opter pour une fermeture à rabat protecteur ou une fermeture étanche. Dans les magasins spécialisés dans les vêtements de travail, on trouve des tenues anti-pluie de grandes marques. Un vêtement de pluie professionnel comprend un pantalon imperméable dans un matériau softshell et un parka de pluie imperméable et isolant. Il existe aussi des ensembles de pluie destinés aux pêcheurs, aux maraîchers, aux agriculteurs, etc.

Lire attentivement l’étiquette-énergétique de l’appareil

C’est le premier réflexe à avoir lorsqu’on achète un appareil ménager. Sur l’étiquette énergétique figurent des informations sur les caractéristiques énergétiques de l’appareil :

– la consommation d’énergie annuelle (en kWh) ;
– la consommation d’eau annuelle (en litre) pour les lave-vaisselles et les machines à laver ;
– la classe d’efficacité énergétique, de A+++ (en vert) à D (en rouge) permettant de savoir si un appareil est moins énergivore ou gourmand en énergie.

À noter que les appareils les plus économiques en énergie sont ceux qui appartiennent à la classe A +++. C’est la classe la plus élevée. Ces appareils peuvent être coûteux à l’achat, mais pas toujours. D’ailleurs, le surcoût sera rapidement amorti par les économies que les appareils permettent de réaliser.

En bref, l’étiquette énergétique facilite le choix des acheteurs et les aide à maîtriser leur facture d’énergie. En effet, mentionner sur les appareils des informations sur la consommation en énergie aide les clients à prendre leur décision d’achat vers les appareils moins énergivores. De ce fait, ces informations sont profitables tant pour l’environnement que pour le budget des consommateurs.

Le saviez-vous ? L’étiquetage énergie est obligatoire pour certaines catégories d’appareils ménagers, notamment les réfrigérateurs, les fours, les hottes, les aspirateurs, les machines à laver, les sèche-linges et toute une série d’équipements électriques.

Appareils ménagers reconditionnés : est-ce une solution économique ?

Un four neuf consomme-t-il moins qu’un ancien reconditionné ? Ce n’est pas forcément vrai, car tout dépend des caractéristiques, et parfois de la marque de l’appareil. Contrairement aux idées reçues sur la consommation des appareils ménagers reconditionnés, opter pour ces produits de seconde main, c’est faire un choix écologique et économique.

On vous explique pourquoi ?

Assurer un produit reconditionné, c’est avant tout un processus huilé. Le travail commence par la récupération des appareils défectueux avant qu’ils ne finissent aux ordures. Le réparateur effectue ensuite un diagnostic pour détecter la cause de la panne et y remédier.

Chaque appareil doit ensuite passer un contrôle strict avant de pouvoir être mis en vente. Cette vérification porte sur l’efficacité, la durabilité et évidemment sur la performance énergétique de l’appareil. Il est donc faux de dire que tous les appareils ménagers reconditionnés sont énergivores. Tout dépend de la façon dont ils ont été reconditionnés. Vous pouvez trouver sur Nouveaux-Consos toute une gamme d’appareils reconditionnés en bon état. Des meilleures marques y sont proposées.

Côté environnement, sachez que produire un appareil ménager neuf consomme plus de ressources (énergie grise). Cela génère des impacts négatifs en matière de changement climatique, d’acidification, d’épuisement de ressources et ainsi que des effets néfastes pour la santé.

Selon une étude récemment menée par l’ADEME, ce sont l’extraction des matières premières, la production et la distribution des équipements ménagers qui entraînent la majorité des problèmes de l’environnement. Toutes ces étapes génèrent du CO2. C’est pourquoi, il est recommandé d’opter pour des appareils ménagers reconditionnés.

Côté budget, les appareils d’occasion ou reconditionnés sont généralement moins chers que les produits neufs.