Les entreprises se mettent au vert pour améliorer leur bilan carbone


Ces dernières années, l’Etat français n’a cessé de multiplié les récompenses pour les entreprises modèles en matière de protection environnementale. L’instauration du bilan carbone et de la taxe carbone faisaient partie des bonnes résolutions pour réduire l’émission de CO2 dans l’air, notamment causée en grande partie par les industriels. De ce fait, les entreprises dont le bilan carbone est « bon » ont toujours été encouragées dans leurs pratiques en se faisant récompenser par des avantages fiscaux. Les consommateurs aussi ont été sensibilisés et instruits pour comprendre les effets induites des emballages des produits qu’ils consomment, ainsi que leurs rapports avec l’émission du gaz à effet de serre. Le point sur le bilan carbone et la taxe carbone.

Pourquoi un bilan carbone ?

Parce que la plupart de toutes les étapes transformation de l’énergie occasionnent l’émanation de C02 dans l’air. La fumée des cigarettes, le gaz domestique, la fumée des voitures, les feux de brousse, la production industrielle, tout engendre la diffusion de ce gaz toxique dans l’air. Mais si on considère l’importance de la pollution, les industriels sont les premiers coupables appelés à la barre. Le bilan carbone permet ainsi de quantifier le taux de carbone émis par ces entreprises et de les réguler. Ainsi ceux-ci seront sensibilisés pour ne pas franchir les limites acceptées par la loi.

De plus en plus d’entreprises se mettent au vert

Cette politique a eu des effets positifs sur l’évolution de la production industrielle. En outre, la marque automobile française Peugeot a été entrainée dans cette démarche écologique et se voit multiplier ses gammes de véhicules hybrides, qui ne polluent pas l’air. Mais cette démarche de conscientisation se fait également ailleurs. L’entreprise de construction allemande Hörmann a en outre préféré créer sa propre centrale éolienne. Aujourd’hui, l’entreprise peut se vanter d’avoir réduit son émission annuelle de CO2 à 16 000 tonnes.